Strona:Maria Sułkowska - Tristan II.djvu/80

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ADIEU.

Quand à l’ombre fraîche des voûtes palatines,
Vous me lisiez Goethe, le Faust, les Elégies.
Les parfums des roses, de l’herbe, des glycines,
Et du jour, et du lieu la limpide magie,

La poussière sacrée de l’auguste colline,
La fête du soleil sur la ruine immense,
Votre timbre grave, votre douce présence,
Versaient à mon âme, l’illusion divine.

Et ainsi que les mystes aux èleusiennes fêtes,
Je voyais Galatée, ses nymphes, ses tritons,
Dans l’azur insondable, en renversant ma tête…

Soudain je tressaillis: dépassant l’horizon,
Galatée m’invitait à ses courses inquiètes
Sur l’inconnu amer, et à fuir sans raison.


Rome.