Strona:Dzieła dramatyczne Williama Shakespeare T. 2.djvu/62

Z Wikiźródeł, wolnej biblioteki
Ta strona została skorygowana.

Alicya.  De elbow.
Katarz.  De elbow. Je m’en fais la répétition de tous les mots que vous m’avez appris dès à present.
Alicya.  Il est trop difficile, madame, comme je pense.
Katarz.  Excusez moy, Alice; escoutez: de hand, de fingres, de nails, de arm, de bilbow.
Alicya.  De elbow, madame.
Katarz.  Seigneur Dieu! je m’en oublie; de elbow. Comment appelez vous le col?
Alicya.  De neck, madame.
Katarz.  De neck; et le menton?
Alicya.  De chin.
Katarz.  De sin. Le col, de neck: le menton, de sin.
Alicya.  Ouy. Sauf vostre honneur, en verité, vous prononcez les mots aussi droict que les natifs d’Angleterre.
Katarz.  Je ne doute point d’apprendre par la grâce de Dieu; et en peu de temps.
Alicya.  N’avez vous pas deja oublié ce que je vous ay enseigné?
Katarz.  Non, je reciteray à vous promptement: de hand, de fingres de mails
Alicya.  De nails, madame.
Katarz.  De nails, de arme, de ilbow.
Alicya.  Sauf votre honneur, de elbow.
Katarz.  Ainsi dis je: de elbow, de nick et de sin. Comment appelez vous le pied et la robe?
Alicya.  De foot, madame; de coun.
Katarz.  De foot et de coun? O Seigneur Dieu! ces sont mots de son mauvais, corruptible, gros et impudique, et non pour les dames d’honneur d’user: je ne voudrois prononcer ces mots devant les seigneurs de France, pour tout le monde. Il faut de foot, et de coun, néanmoins. Je reciterai une autre fois ma leçon ensemble: de hand, de fingres, de nails, de arm, de elbow, de nick, de sin, de foot, de coun.
Alicya.  Excellent, madame!
Katarz.  C’est assez pour une fois; allons nous à diner.

(Wychodzą).